Après quelques mois de silence le journal L'AMI est de retour. Un numéro
de 8 pages où Élika, la rédactrice s'exprime sur différents thèmes.
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L’AMI silencieux
Les deux derniers numéros du journal L’AMI comptaient 12 pages. Un effort considérable pour une si jeune rédactrice. Compétitive, Élika a trouvé, sans peine, mille prétextes pour retarder la sortie du No 3. Je suis certaine qu’elle ne pouvait pas se résigner à faire moins, tout en se disant que c’est beaucoup de travail pour une jeune fille très occupée. Il est vrai qu’elle mène une vie très active, passionnée qu’elle est, surtout pour la danse, le karaté et le théâtre. Autre motif que je devine : Élika a tellement de sujets qu’elle veut aborder qu’elle ne sait plus comment tout traiter en un journal. Et cela, la paralyse un peu.
Alors, je lui ai suggéré de publier un No spécial, dans lequel, par des questions et réponses, elle pourrait s’exprimer sur un choix de thèmes. Cela lui rendrait la chose plus facile tout en lui permettant de se remettre en selle. Elle a souri et, avec enthousiasme, s’est installée devant l’ordinateur pour réaliser une entrevue de plus de 20 minutes.
J’étais curieuse de connaître ses thèmes et d’entendre les réponses d’une enfant de 9 ans. Réponses que je transcris le plus fidèlement possible (je vous épargne quelques euh!).
Les deux derniers numéros du journal L’AMI comptaient 12 pages. Un effort considérable pour une si jeune rédactrice. Compétitive, Élika a trouvé, sans peine, mille prétextes pour retarder la sortie du No 3. Je suis certaine qu’elle ne pouvait pas se résigner à faire moins, tout en se disant que c’est beaucoup de travail pour une jeune fille très occupée. Il est vrai qu’elle mène une vie très active, passionnée qu’elle est, surtout pour la danse, le karaté et le théâtre. Autre motif que je devine : Élika a tellement de sujets qu’elle veut aborder qu’elle ne sait plus comment tout traiter en un journal. Et cela, la paralyse un peu.
Alors, je lui ai suggéré de publier un No spécial, dans lequel, par des questions et réponses, elle pourrait s’exprimer sur un choix de thèmes. Cela lui rendrait la chose plus facile tout en lui permettant de se remettre en selle. Elle a souri et, avec enthousiasme, s’est installée devant l’ordinateur pour réaliser une entrevue de plus de 20 minutes.
J’étais curieuse de connaître ses thèmes et d’entendre les réponses d’une enfant de 9 ans. Réponses que je transcris le plus fidèlement possible (je vous épargne quelques euh!).
Je la savais passionnée. Je savais qu'elle aimait la danse. Mais je ne
me doutais pas à quel point.Avec son langage, ses expressions, cette
petite fille de 9 ans continue de m'enchanter. Son propos est parfois
drôle, parfois émouvant. Sa sincérité est évidente. Élika ne triche pas.
Et si jamais je tente d'amoindrir certains mots, elle le corrige quand
elle fait une dernière lecture avant de donner son aval à l'impression.
Le lancement de la version papier a eu lieu à Sainte-Rose-du-Nord,
dimanche 13 août en présence de 18 personnes. L'ambiance fort joyeuse a
rendu la tâche difficile pour la photographe. Nous avons retenu une
photo d'Élika avec son papa qui illustre bien la fierté.
Élika Laforge au lancement du journal L'AMI et son papa Ariel Laforge |
Élika avait 7 ans lors du lancement du tout premier numéro de ce journal. Le 4 septembre prochain elle célèbrera son 10e anniversaire. Elle affirme n'avoir pas du tout l'intention de renoncer à SON journal.
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