Version PDF cliquez ICI |
Après un long moment de silence, L'AMI est de retour. Élika a bien
raison de dire qu'elle travaille plus que moi. Si ce n'était de
présenter son journal, je serais totalement silencieuse sur ce blogue.
Je me le reproche, mais parfois on est comme cela, en panne de mots.
Heureusement, j'ai de la relève. Voici donc le huitième numéro de ce
journal commencé au printemps dernier avec ma petite-fille de 7 ans.
Aujourd'hui, notre jeune rédactrice en chef a 8 ans. Et je dois
reconnaître que sa première véritable entrevue est fort prometteuse.
La petite histoire du numéro 8
Après un été de camp de vacances, de voyages dans les Laurentides, d’un
séjour ludique à Sainte-Rose-du-Nord où elle a inauguré SA chambre - « à moi [à elle] toute seule et il faut la permission pour y entrer »
- ce fut le retour à l’école, la reprise des cours de danse et de
karaté. Notre jeune rédactrice très occupée n’a pourtant jamais renoncé à
son journal L’Ami. J'avoue que, jusqu’à ce jour, c’était son éditrice
qui n’avait plus le temps de faire son travail. Ce temps si précieux…
Quelques semaines après la rentrée scolaire, je vois Élika en train d’écrire dans son cahier de journaliste. Elle est tout heureuse de m’annoncer qu’elle a interviewé le prochain ami du jour.
- Et il m’a envoyé sa photo, ajoute-t-elle, pour me convaincre d’avoir fait un travail sérieux.
Puis, nous parlons école. Élika me lance toute fière que son professeur d’anglais est un chanteur dans un groupe de musique. Bien sûr, je réagis, prête à lui dire « quel bon sujet ». La coquine m’a devancée. C’était justement le propos de son écrit. J’étais très fière de ma jeune journaliste. Bon réflexe! me suis-je dit.
Et le temps passe.
Oh! drame! L’enregistreuse qui contient son entrevue a disparu. Trop
bien rangée dans le bureau de SA chambre. Mais tout est sauf. Elle a été
retrouvée et ce numéro porte essentiellement sur Maxime Desrosiers et
le groupe Mordicus.
***
En consacrant ce numéro à Maxime Desrosiers qui enseigne l'anglais à
l'école Mont-Valin de Saint-Fulgence, Élika et ses collaborateurs
veulent aussi rendre hommages aux enseignants. Ils ont un rôle important
dans le développement de la personnalité de nos enfants. Leur influence
est inestimable.
À peine sorti des presses, les lecteurs dévorent L'AMI.
Élika et sa Mamieke au lancement de L'AMI Vol.1 No 8
© Photo Andréa-Anne Lachaine photographie
C'était le soir de la coupe Grey. Mais L'AMI lui a fait concurrence.
© Photo Andréa-Anne Lachaine photographie
Patrice Leblanc, un fan de L'AMI
Comme d'autres plus bas.
© Photo Andrée-Anne Lachaine photographie
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire