À propos de ce blogue

La première édition du journal L'AMI remonte au 26 février 2015. Élika avait 7 ans quand je lui ai proposé cette aventure dans le monde des mots. Cela a été très important pour elle autant que pour moi. « Et je veux continuer, même si trop souvent je manque de temps », me confie-t-elle cette semaine. Que ce soit un numéro par an ou deux ou trois, ce blogue lui permettra (en plus de la page FB de L'AMI) de garder un contact avec vous lecteurs et lectrices et peut-être en rejoindre de nouveaux. Maintenant qu'elle a 15 ans, elle vit de nouvelles expériences. Qui sait ? Cela vous intéressera peut-être de la suivre sur cette route qui la conduit vers l'avenir qu'elle souhaite. « Je veux continuer la danse, l'enseigner auprès des petits et aussi devenir enseignante. Travailler auprès des enfants me plaît beaucoup et j'aime les voir s'amuser tout en apprenant plein de choses. » Oui, elle sait ce qu'elle veut être depuis longtemps. Ce blogue réunit toutes les publications du journal L'AMI. Cela rendra plus facile le liens entre cette jeune fille et toutes les personnes qui la lisent depuis le début. Bienvenue sur sa route. Christiane Laforge

2015/12/11

L'AMI (vol.1 No 9) : Être une grande sœur

 


https://drive.google.com/file/d/0B7m_CGeg3I_-dldTMDNGX0M0ME0/view?usp=sharing
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 L’AMI, source de complicité


  Le temps consacré à la rédaction de L’AMI va en s’allongeant. Ce qui est un très bon signe de l’évolution de notre jeune rédactrice. Elle s’investit de plus en plus dans sa réalisation. Cela se traduit par la rédaction de ses textes qu’elle veut écrire elle-même sur le clavier à partir des ses notes résumant les idées maîtresses de ce qu’elle veut exprimer.

  Le thème de ce 9e numéro est sérieux. Comme la publication de L’AMI, coïncide avec le premier anniversaire de sa petite sœur Calielle, Élika voulait en faire sa vedette du jour. Tandis qu’elle écrivait ses sentiments à l’égard du 4e enfant de sa famille, sa position de « grande sœur » revenait sans cesse dans son discours. Je l’écoutais sans rien dire, mais pensant que ce serait un bon sujet pour sa chronique. 


De plus en plus souvent, je constate qu’elle devine ma pensée, car elle se tourne vers moi, disant :
    -    Je crois que je vais expliquer c’est quoi une grande sœur.
    -    Quelle bonne idée!
    -    Toi, est-ce que tu a été une grande sœur?
    -    Non, j’étais la plus jeune.
    -    C’est dommage! Tu ne sauras jamais c’est quoi. Et tu ne pourras pas répondre à mes questions.
    -    Mais Papili a été un grand frère, lui.
    -   
  Appelé à la rescousse, son Papili vient nous rejoindre. J’ai alors assisté à l’énumération, de l’un et de l’autre, sur ce que c’est que d’être l’aîné d’une famille. Un échange des bons et mauvais côtés dont j’écrivais la liste sur un tableau tandis qu’ils énuméraient, l’un ses souvenirs, l’autre sa réalité. Un moment de grande complicité!

***


Avis aux lecteurs

  Élika compte bien poursuivre cette aventure en 2016. Elle y consacre de plus en plus de temps et démontre un désir réel de participer à toutes les étapes de sa réalisation. Bien sûr, elle a encore beaucoup à apprendre, mais elle fait preuve d'initiative qui, multipliant le temps requis pour l'accompagner, n'en démontre pas moins qu'elle acquiert une plus grande autonomie.

 Vos encouragements lui sont précieux. Elle s'étonne encore que des « adultes » lui écrivent. 

  Pour compléter son dossier, êtes vous un grand frère ou une grande sœur? Si oui, quels sont les bons et mauvais souvenir reliés à ce statut? Si non, est-ce mieux d'être le ou la plus jeune? Et que dire de l'enfant du milieu.

L'Ami fera un condensé de vos réponses.


Élika Laforge travaille sur l'ordinateur de sa Mamieke pour rédiger ses textes.

  





Élika s'exprime sur la Covid-19 et questionne des enfants sur ce grave sujet

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